THE SHOW MUST GO ON

Jamais, jamais abandonner un objectif.

Parfois la vie n’est pas juste. On sais très bien que cela est vrai. On sais aussi que la réussite dépends de plusieurs facteurs comme détermination, patience, chance.

J’étais en train de me gronder car l’année dernière je me suis moins entraîné le mât chinois, ma prémiere spécialité.

Avec l’accident d’hier, je me suis rendu compte qu’en fait, l’année dernière j’étais blessé pendant un bon moment.

Le coude gauche ” légèrement ” tordu après l’accident.

L’année dernière j’étais diagnostiqué avec une arthrose au coude gauche.

J’avais pas une douleur insupportable mais j’imaginais qui avec des médicaments cela pourrait être guérie.

De cette façon, après le scanner j’ai décida avec mon médecin sportif de me faire ma première infiltration.

2 semaines avant de partir pour un grand contrat, j’avais toujours mal. À ce moment on décida de faire la deuxième.

Je suis arrivé à Budapest blessé. Cela je n’avais jamais dit à personne jusqu’aujourd’hui.

Je m’entraînais sans arrêt pour pouvoir m’habituer à la douleur.

Ça peut paraître folie mais j’ai été tellement entouré des bons artistes que cela ma motivé de pousser mon niveau encore et encore.
Quand le contrat a fini j’avais la sensation d’être guéri. Effectivement je n’avais plus mal.

De cette façon je reprend la musculation.
J’avais un bonheur d’enfer de pouvoir refaire des exercices avec du poids.

Ce qui est en train de me tuer en ce moment est que je sais la douleur qui j’ai senti pour me guérir. Je sais ce que je dois faire et ce que m’attend. Mais ce n’est pas juste d’avoir besoin de recommencer à cause d’une stupidité. Quelque chose de facile.

Un accident sert toujours pour réfléchir et placer les choses.

J’essaie de regarder d’extérieur mais cette fois-ci j’arrive pas encore.

Je vais essayer de dormir car demain j’aurais un contrat.

J’ai réussi a trouver des solutions pour le show.

Malheureusement je ne pourrai faire aucune acrobatie du côté gauche. Bien maintenant que j’ai progressé gravement mon mauvais côté…

Bien sûr qui ça aurait pu être pire. J’essaie toujours de relativiser. Mais cette fois-ci j’arrive pas encore à m’éloigner pour comprendre la raison de cette fatalité.

Quelqu’un m’a dit que j’ai exagéré. J’ai lui envoyé chier. 

Seulement ceux qui m’accompagnent savent la douleur physique et morale que je sens en ce moment. Seulement ceux qui savent l’investissement journalier dépensé tous les jours… Seulement ceux qu’on compris que tout cela c’est unique et exclusivement pour le public.

Les rideaux s’ouvrent… Le ” pestacle ” dois continuer.

A la prochaine.

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